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Rue Léon Merlin |
![]() Plan de situation |
Date de dénomination : 04.11.1927.
Fils d'Henri Merlin, chef de service aux contributions indirectes et de Dorothée Annette Joyeux, né à Marchiennes (Nord) le 7 février 1850, mort à Saint-Étienne le 14 novembre 1906. D'origine flamande, il arrive à Saint-Étienne en 1882. Receveur particulier des contributions indirectes mais surtout poète et directeur de la Revue stéphanoise et forézienne qu'il a créée en 1891. Il a publié de nombreux poèmes dans cette revue et repris dans les journaux Le Stéphanois ou Le Républicain de la Loire ainsi que de nombreux recueils. Il fut président du "Caveau stéphanois" créé par Jean-François Gonon en 1883. Son épouse, Alphonsine Anastasie Vicque, et lui ont eu la douleur de perdre trois de leurs enfants en quelques semaines, Léon Marie, 7 ans et demi le 14 février 1890 et, le même jour, le 26 avril 1890, Robert Paul 7 ans et Yvonne Blanche 2 ans. Ils avaient déjà perdu leur fille Marguerite le 3 septembre 1885 à l'âge de 3 mois, c'est elle qui est évoquée dans le poème ci-dessous. Il a oeuvré pour que soient élevés des monuments à la mémoire de Jules Janin et de Francis Garnier. |
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