Grand'Église ou église Saint Étienne et Saint Laurent  
La Grand'Église sur un plan de 1769 où l'on voit, surmontant le clocher, l'aiguille construite en 1730.

La Grand'Église, photo de Félix Thiollier, avant 1881, date de démolition du clocher, AD42.

La Grand'Église en 1935, AD42.

La Grand'Église aujourd'hui.

Le porche avec les noms des deux martyrs Saint Étienne et Saint Laurent. Lors de la première invasion des huguenots, en 1562,
le capitaine Sarras aurait fait détruire les statues qui ornaient la façade à moins qu'il n'y en ait jamais eu.

Sculpture étrange sur la façade.

Sculpture de Saint Étienne, sur le socle on voit les palmes et les croix symboles du martyre du Saint.

Tricéphale sous le porche d'une porte. Ce serait un symbole de croyance celtique repris par le catholicisme pour exprimer la Trinité.

La lapidation de Saint Étienne, oeuvre classée de Joseph Hugues Fabisch (1812-1886) ainsi que les statues latérales.

La chaire, oeuvre classée du XVIIe, probablement sculptée par Désiré Claude.

La chaire, oeuvre classée du XVIIe, probablement sculptée par Désiré Claude.

Mise au Tombeau, bois polychrome réalisée en 1622 par Guillaume Fontaine, maître menuisier à Montbrison, oeuvre classée.
Sur les douze personnages commandés, huit ont été livrés, il en reste sept aujourd'hui.

La lapidation de Saint Étienne XVIIe, oeuvre classée. Le commanditaire pourrait être Jean de la Veüe dont l'épouse, Antoinette de l'Estra, et la fille sont mortes de la peste
vers 1628 tout comme lui un peu plus tard.

La déploration du Christ, 1615, oeuvre classée de Guy François (1578-1650). Outre la Vierge au centre, sont représentés de gauche à droite, Saint Dominique, Saint Étienne avec, dans les mains, les pierres de son martyre, Saint Augustin et Sainte Catherine de Sienne.

Saint Louis adorant la couronne d'épines, oeuvre inscrite aux MH. Louis IX (1214-1270) présente la couronne d'épines à un archevêque.

Le voeu de la Ville pour la préservation de la peste de 1629. Ce tableau, commandé en 1640, est attribué à Antoine Reynard et a été réentoilé et ramené à son état d'origine en 1849.
Il comporte plusieurs inscriptions dont le renouvellement du voeu en 1721 par les échevins.

L'Assomption. D'abord daté du XVIIe siècle, ce tableau serait plutôt du début du XIXe, classé MH.
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