Rue Maurice Deprandière  
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Plan de situation
Date de dénomination : 28.11.1924.

Ou Maurice de Prandière, fils de Jean Joseph Deprandière, greffier et d'Anne Marcelline Alléon, né à Saint-Étienne le 19 décembre 1750, mort dans cette même ville le 29 juin 1825.
Lui-même signait Deprandière :

Il épouse, à Saint-Étienne le 30 mai 1780, Jeanne Marie Peurière fille de Romain Peurière, bourgeois et ancien échevin de la ville.
Maurice est marchand-fabricant de rubans, nommé maire par les représentants du peuple le 2 décembre 1794, il démissionne le 13 janvier 1795.
Son fils, Romain, sera lui aussi maire de Saint-Étienne, d'abord comme intérimaire de mai à novembre 1831 puis de janvier 1838 à août 1939 nommé par le roi. Il a été désigné légataire universel avec deux autres personnes de Victor Jovin-Bouchard. Tous les trois seront chargés de répartir la fortune selon les dernières volontés exprimées par Jovin-Bouchard ce qui conduira à un procès retentissant 25 ans après sa mort.

Une partie de la rue a été détruite par le bombardement allié du 26 mai 1944 faisant 9 morts.

Plaque à la mémoire des victimes dans la rue
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