Le puits Thiollière faisait partie de la concession de Beaubrun sur la commune de Saint-Étienne.
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Il existait la concession de la Côte-Thiollière tout près de Saint-Jean-Bonnefonds qui fut attribuée le 6 novembre 1825 à la Compagnie des fonderies et forges de la Loire et de l'Isère. Ce nom provient du hameau Thiollière dont est originaire la famille Thiollière. Le puits n'était pas situé dans ce territoire mais a bien un rapport avec des membres de cette famille.
Le 4 novembre 1824, la concession du Treuil est attribuée à plusieurs personnes dont un Thiollière du Treuil, probablement un descendant de Claude Simon Thiollière Dutreuil (mort en 1818) et de Marianne Neyron. Ce n'est pas là qu'est situé le puits.
Le 10 août 1825, est attribuée à Antoine Thiollière La Roche, la concession de Dourdel - Montsalson mais aussi celle de Beaubrun dans laquelle se trouvait le puits. On peut donc penser que le nom provient de ce personnage.
Il était le frère de Claude Simon Thiollière Dutreuil, fils de Jean François Thiollière de l'Isle et de Marguerite Ravel, né à Saint-Étienne le 16 juillet 1766 et mort à Brignais le 7 janvier 1850. Il était maire de Montaud et adopta pour ses métiers à tisser dans sa fabrique, la mécanique Jacquard.
Généalogie de la famille Thiollière
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