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Rue Paillon |
 Plan de situation |
Date de dénomination : 30.06.1920, ancien chemin de Paillon dénommé avant 1850.
La rue ayant été ouverte après 1840 et, étant présente sur le plan de 1853, elle honore probablement Jean Baptiste, fils de Christophe Paillon, tailleur de limes et de Catherine Couchoud, né à Saint-Étienne le 7 janvier 1770, mort dans cette même ville le 18 septembre 1843. Fabricant de rubans, la société porte le nom de Paillon frères et Cie puis, à partir de 1818, Paillon frères et Riocreux. Un sieur Paillon obtient la concession des mines de Ronzy par ordonnance royale du 4 novembre 1824, ce pourrait bien être Jean Baptiste car une autre ordonnance du 12 mai 1825 concède la concession de la Porchère à Jean Baptiste Paillon. Voir puits Paillon. Jean Marie Victor, fils du précédent et de Jeanne Louise Victoire Nicolas, né à Saint-Étienne le 10 janvier 1809, mort dans cette même ville le 13 juillet 1884, déposera un brevet à 15 ans le 3 février 1860 pour un compensateur de métier à rubans. Adjoint au maire de Saint-Étienne et membre de la Société d'agriculture, industries, sciences, arts et belles-lettres, il a épousé à Saint-Étienne, le 29 mai 1836, Marie Andrine Nicolas dont la soeur, Jeanne Louise Nicolas, a épousé Augustin Emmanuel dit Auguste Guitton. Toutes deux étaient les nièces de Jean-Baptiste David. |
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| Plan de 1853, archives municipales de Saint-Étienne |
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| École maternelle Paillon, rue Buisson |
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