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Rue Marcellin Allard |
![]() Plan de situation |
Date de dénomination : 17.02.1886, ancienne petite rue du Jeu de l'Arc. Né à Saint-Étienne en 1550 ou 1555, mort entre 1610 et 1613. Aîné de huit enfants de Pierre d'Allard, consul de Saint-Étienne en 1569, et d'Antoinette Bory. Héritier de son père, négociant en soieries. Le contrat de mariage avec Hélène de Roissieu est daté du 2 août 1580. Ils auront six enfants dont le dernier, Pierre, aura dans sa descendance Hippolyte Sauzéa. Il fut consul de Saint-Étienne et député aux États généraux du Forez en 1589 et a publié La gazzette françoise en 1605 ainsi qu'un Ballet en dialecte forésien de trois bergers et trois bergères. |
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Portrait de Marcellin Allard reproduisant celui trouvé dans la première édition (probablement de 1605) du Ballet en langage forésien de trois bergers et de trois bergères. |
Couverture de la Gazzette Françoise, BNF. |
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Portrait de Marcellin Allard. Collection Histoire et Patrimoine de Saint-Etienne. |
Portrait d'Hélène de Roassieu (Roissieu) épouse de Marcellin Allard. Collection Histoire et Patrimoine de Saint-Étienne. |
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Maison appartenant à Jacques d'Allard le long de la rue Roannel en 1767 (12 avenue Émile Loubet). La construction daterait de 1572. |
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Deux des 5 Caryatides entre le 1er et le 2e étage. |
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Les trois autres Caryatides entre le 1er et le 2e étage. |
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Les décorations entre le 2e et le 3e étage à gauche. |
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Les décorations entre le 2e et le 3e étage à droite. |
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La façade de la maison au début du XXe siècle, AD42. |
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Les caryatides en meilleur état. Au bout de la rue Roannel on aperçoit la Grand'Église, AD42. |
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Les armoiries de la famille d'Allard (musée de la Diana Montbrison) |
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Plus tard on trouve, Jean-Baptiste Joseph d'Allard, fils de Jacques d'Allard, écuyer et de Benoîte Josèphe Decourtin, né à Montbrison le 17 juin 1769 (consulter le registre), mort à Montbrison le 17 novembre 1848 (consulter le registre). Officier de cavalerie, arrêté sous la terreur, il réussit à s'évader. Il a donné sa collection d'histoire naturelle à la ville de Montbrison. Son hôtel particulier acheté par la municipalité avec ses jardins, est devenu le Musée d'Allard. |
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La tombe de Jean-Baptiste d'Allard au cimetière de Montbrison Il repose aux côtés de son épouse Marie Pierrette de Sainte Colombe, morte à Montbrison le 8 août 1846 |
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Le musée d'Allard |
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