Rue Joséphin Soulary

 
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Plan de situation
Date de dénomination : 01.03.1907.

Joseph Marie dit Joséphin, fils de Jean-Baptiste Soulary, négociant et d'Anne Joséphine Constance Deléglise, né à Lyon le 23 février 1815, mort dans cette même ville le 28 mars 1891.
Chef de bureau à la Préfecture du Rhône puis bibliothécaire au Palais des Arts mais surtout poète.
Il n'est que voisin de la région mais il a été parrainé en littérature par Jules Janin qui a écrit une préface en vers de la deuxième édition des "Sonnets humouristiques" parus en 1859. Chevalier de la Légion d'honneur en 1864. En savoir plus...
Son oncle Claude Mathias Soulary (Lyon 15.10.1792 - Saint-Étienne 20.01.1870), peintre, fut directeur de l'École de dessin de Saint-Étienne de 1837 à 1861. Parmi ses élèves, Léon Pierre Ducaruge.
Claude épouse Élisabeth Gailliard à Lyon le 7 mai 1828. Leur fils, Barthélémy Aristide, sera ingénieur des mines à Monthieux et épousera Esther Élisabeth, fille de Pierre Louis Gillet, ingénieur du chemin de fer de Saint-Étienne à la Loire de 1825 à 1855.
Buste de Joséphin Soulary, oeuvre de Charles Textor (1835-1905), sculpteur lyonnais, musée des Beaux-Arts de Lyon.

Monument à Joséphin Soulary, oeuvre d'Auguste Suchetet (1854-1932) , le buste et la muse de la poésie ont été fondus en 1943.
Le socle se trouvant place Chazette a été détruit en août 1950 lors des travaux du tunnel sous la Croix-Rousse.

Buste sculpté sur le mur de sa maison alors rue des Gloriettes : site source.

Vue prise du petit treuil, Claude Soulary 1853, musée d'art et d'industrie.

Portrait d'un noir, 1848, musée d'Art moderne de Saint-Étienne.

Hommage à Pierre Louis Gillet, beau-père de Barthélémy Aristide Soulary, cimetière d'Andrézieux.
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